Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai
L'autre jour, j'étais sur la route, avec la radio allumée, quand la chanson de Francis Cabrel est passée : Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai
Soudain, lorsque j'ai enfin pris le temps d'écouter les paroles, cette chanson m'a véritablement fait écho et m'a vraiment submergé d'émotion.
Etrange, c'est vrai ... Je pense que mon amour maternel m'a fait me projeter dans toute cette émotion transposée dans des paroles qui jusqu'alors ne m'avaient jamais parlé...
L'imagination de ce que dit Francis Cabrel, avec ma fille, me renvois beaucoup d'émotions ....
Bref, voilà c'était mon petit article émotion du dimanche
Paroles : Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai
Mon enfant nu sur les galets
Le vent dans tes cheveux défaits
Comme un printemps sur mon trajet
Un diamant tombé d' un coffret
Seule la lumière pourrait
Défaire nos repères secrets
Où mes doigts pris sur tes poignets
Je t' aimais, je t' aime et je t' aimerai
Et quoique tu fasses
L'amour est partout où tu regardes
Dans les moindres recoins de l' espace
Dans le moindre rêve où tu t' attardes
L' amour comme s' il en pleuvait
Nu sur les galets
Le ciel prétend qu' il te connaît
Il est si beau c' est surement vrai
Lui qui ne s' approche jamais
Je l' ai vu pris dans tes filets
Le monde a tellement de regrets
Tellement de choses qu' on promet
Une seule pour laquelle je suis fait
Je t' aimais, je t' aime et je t' aimerai
Et quoique tu fasses
L' amour est partout où tu regardes
Dans les moindres recoins de l' espace
Dans le moindre rêve où tu t' attardes
L' amour comme s' il en pleuvait
Nu sur les galets
Ouh ouh....
On s' envolera du même quai
Les yeux dans les mêmes reflets
Pour cette vie et celle d' après
Tu seras mon unique projet
Je m' en irai poser tes portraits
A tous les plafonds de tous les palais
Sur tous les murs que je trouverai
Et juste en dessous j' écrirai
Que seule la lumière pourrait
Ouh ouh....
Et mes doigts pris sur tes poignets
Je t' aimais, je t' aime et je t' aimerai
Ouh ouh....